
Paroles… ou l’enfance de l’art
Jacques PrévertPrésentation

Plus tard il sera trop tard. Notre vie c'est maintenant…
Spectacle accessible à partir de 8 ans
Plus tard il sera trop tard. Notre vie c'est maintenant…
Jacques Prévert, Embrasse-moi, in Histoires © Gallimard
Dans ma maison, vous viendrez...
Avec une Chanson, un Dimanche, après La grasse matinée...
Dans Le jardin, Les Belles familles, Pour faire le portrait d’un oiseau avec Le Cancre, Barbara et L’Amiral
Ici pas de Chasse à l’enfant ni d’accent grave… Juste un Orgue de barbarie et Paris at night…
Comment mieux finir une trilogie sur la vie que par l’enfance ?
Après La construction de soi et La mastication des morts, Olivier Lacut termine ce cycle, seul en scène, et nous emmène sur les sentiers de sa genèse, vers le mystère de la création...
Informations sur le lieu
Distribution
Coréalisation Les Déchargeurs / Cie Olivier Lacut
Avec l’aimable autorisation de Madame Eugénie Bachelot Prévert – Fatras Succession
Multimédia
Notes & extraits
Souvenirs d’enfance, d’école...
Souvenirs de poèmes et de chansons...
Souvenirs de théâtre et de cinéma aussi.
J’avais envie pour ce « dernier voyage en solitaire », sur scène, de me replonger dans le monde de l’enfance,
grâce au poète Jacques Prévert.
Me replonger dans me premiers souvenirs de théâtre, sur les planches et dans ce qui semblerait être
« l’enfance de l’art »...
Et puis me demander quelle part de l’enfance reste en nous, pourquoi le comédien continue à « jouer »,
simplement comme l’enfant dans une cour de récréation ?
Ce voyage sera peut être aussi l’occasion d’interroger le passage de l’enfance à l’adolescence puis à l’âge
adulte...
Il sera également question d'amour(s) et de guerre(s)...
Je dédie ce spectacle à Maryse Hache.
Olivier Lacut
Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça
Quand j'ai envie de rire
Oui je ris aux éclats
J'aime celui qui m'aime
Est-ce ma faute à moi
Si ce n'est pas le même
Que j'aime chaque fois
Je suis comme je suis
Je suis faite comme ça...
Je suis comme je suis
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce
jour-là
Et tu marchais souriante
Épanouie, ravie, ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara...
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre...
Barbara