Dominique Borrini réalise des mises en lumière aussi bien pour l’opéra, le théâtre ou la danse.
Il rencontre Klaus Michael Grüber pour La Mort de Danton de Georg Büchner (Théâtre Naterre-Amandiers, Centre dramatique national, 1989), puis le retrouve pour Hypérion de Bruno Maderna (Théâtre national de l’Opéra-comique de Paris, 1991), La Traviata de Giuseppe Verdi (Théâtre du Châtelet, Paris, 1993), L’Incoronazione di Poppea, triptyque de Pierre Boulez et Klaus Michael Grüber (Festival d’Aix-en-Provence, 2000), Boris Godounov de Modeste Moussorgski (Théâtre Royal de la Monnaie, Bruxelles, Belgique, 2006 - Opernhaus, Zürich, Suisse, 2008 - Teatro Real, Madrid, Espagne, 2012...)
Il collabore également avec Bernard Sobel, Marie-Louise Bischofberger, Alessandro Baricco, Ellen Hammer, Vincent Garanger, Jean-Claude Berutti, Dan Jemmett, François Cervantes, Bérengère Bonvoisin, Lluis Homar, René Koering et les chorégraphes Blanca Li, Bernardo Montet, Roland Petit et Davide Bombana.
De ses rencontres avec différents peintres-scénographes, dont Gilles Aillaud, Edouardo Arroyo, Lucio Fanti, naît une complicité qui enrichit la palette de son expression dans le traitement dramaturgique de ses espaces de lumière. Il consacre une partie de ses activités à l’enseignement de la lumière et à l’éclairage des collections en muséographie.