Présentation

Le Tourneseul de
Date(s) : du 29 oct 2019 au 16 nov 2019
Mardi
Mercredi
Jeudi
Vendredi
Samedi
à 21h
Durée : 1h05

Après Comment va le monde ? les mots du clown Sol reviennent !

De l’intimité de la naissance au jaillissement du monde, les textes du clown Sol et les mots d’aujourd’hui se répondent avec malice. Ces mots, Clov, clown clochard et philosophe, avec sa « peubelle » pour seule compagne, joue avec en tous sens. Il les tord, s’entortille lui-même, réinvente un langage pour rire mais aussi pour dire le monde dans tous ses états. Et partager dans l’humour singulier l’immortalité du regard.

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Informations sur le lieu

Salle Vicky Messica
Les Déchargeurs
3, rue des Déchargeurs
RDC Fond Cour
75001 Paris

La presse en parle

Eric de Dadelsen dit les mots de Sol et y entremêle les siens, dissertant sur le monde et son état. Tout va très vite, ça fuse et gicle, le spectateur en est tout étourdipuisé ! La Canard enchaîné
La philosophie drôlesque de Cløv est un petit festin d’être. Le Bruit du Off Tribune
Eric de Dadelsen entraîne le spectateur dans un tourbillon linguistique époustouflant. Webthéâtre

Distribution

Texte
Adaptation
Mise en scène
Comédien(s)
Lumières

Co-réalisation La Reine blanche - Les Déchargeurs & Goldmund théâtre

Goldmund théâtre est conventionnée par le ministère de la Culture et de la Communication D.R.A.C Bretagne

Multimédia

Notes & extraits

MOT DU METTEUR EN SCÈNE
Eric de Dadelsen, alias Clov, m’a demandé en ma qualité de clown d’apporter unregard extérieur. J’ai été d’emblée séduit par la qualité et la force du texte. L’humour se mêle à la critique du temps d’une façon aussi jubilatoire que pertinente. Mon travail a consisté à contribuer au modelage du personnage de Clov, clown clochard innocent dont la virtuosité du langage ne doit jamais prendre le pas sur son authenticité. Les mots lui échappent. Ce n’est pas un donneur de leçon. Mais les sens cachés se révèlent malgré lui. C’est ainsi que nous avons travaillé à la naissance de ce clown, à travers sa maladresse, sa candeur, sa solitude qui résonne particulièrement dans ses confidences à sa «peubelle», dans de courts moments musicauxet dans le sens de l’émotion comme un pendant au foisonnement du texte.