Thierry Harcourt

Il n'est pas de mois sans qu'une pépite nous soit révélée / Le Figaro

Thierry Harcourt a été formé par François-Xavier Hoffman et François Florent (Cours Florent, Paris, 1982-1984).

Au théâtre, il met en scène une quarantaine de pièces dont Playing always de Chris Sykes (Théâtre Lilian Bayliss, Londres, 2005), Orange mécanique d’Anthony Burgess (Cirque d’Hiver, Paris, 2006), Un mari idéal d’Oscar Wilde (Théâtre national de Sofia, Bulgarie, 2007), Le Bal des voleurs de Jean Anouilh (Théâtre du Rond-Point, 2008), Léocadia de Jean Anouilh (Théâtre 14, Paris, 2010), Frères du bled de Christophe Botti (Vingtième Théâtre, Paris, 2011), Rose de Martin Sherman (Pépinière Théâtre, Paris, 2012), The Servant de Robin Maugham (Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris, 2015), Maxime d’Aboville a reçu pour ce spectacle le Molière du meilleur comédien, La Fille sur la banquette arrière de Bernard Slade (Théâtre de la Tête d’or, Lyon, 2017), L’Ombre de Stella de Pierre Barillet (Théâtre du Rond-Point, Paris, 2017), L’Amante anglaise de Marguerite Duras (Lucernaire, Paris, 2017), Abigail’s party de Mike Leigh (Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris, 2018), La Collection d’Harold Pinter (Théâtre de Paris, 2018), Interview de Theodor Holman (Espace Roseau Teinturiers, Avignon, 2018) et Une actrice de Philippe Minyana dans lequel il joue (Théâtre de Poche-Montparnasse, Paris, 2018).

Au cinéma, il joue dans The Big swap réalisé par Niall Johnson (1998), East is east (fish and chips) réalisé par Damien O’Donnell (2000) et récemment dans Les Terres saintes, réalisé par Amanda Sthers (2019).

A la télévision, il joue dans plusieurs séries dont Boulevard du palais réalisé par Philippe Venault (2007), American girl grace réalisé par Vince Marcello (2015), Versailles réalisé par Jalil Lespert (2015) ou Braquo réalisé par Xavier Palud (2016).