Catherine Verheyde

Il n'est pas de mois sans qu'une pépite nous soit révélée / Le Figaro

Après une licence d’histoire, Catherine Verheyde intègre l’Ecole nationale supérieure des Arts et Techniques du théâtre, section lumière. Elle se forme auprès de Gérald Karlikow ainsi que de Jennifer Tipton et Richard Nelson. Elle travaille ensuite avec Philippe Labonne, Jean-Christian Grinevald... Elle rencontre Jacques Osinski en 1994. Leur première collaboration sera La Faim de Knut Hamsun. Ils travailleront ensuite sur Sladek, soldat de l’armée noire, Léonce et Léna, L’Ombre de Mart, Richard II, Dom Juan, Le Songe, L'Usine, Le Conte d'hiver, Le Grenier de Yoji Sakaté, Le Triomphe de l’amour de Marivaux, Le Moche et Le Chien, la nuit et le couteau de Marius von Mayenburg et dernièrement Medealand et
L’Avare. Parallèlement, Catherine Verheyde a travaillé avec les metteurs en scène Philippe Ulysse, Marc Paquien, Benoît Bradel, Geneviève Rosset, Antoine Le Bos… et les chorégraphes Laura Scozzi, Dominique Dupuy, Clara Gibson-Maxwell, Philippe Ducou.
Elle éclaire des concerts de musique contemporaine notamment à l'IRCAM (concerts Cursus, récital Claude Delangle) et aux Bouffes du Nord (concerts des solistes de l'EIC) et récemment, en Tchéquie, des pièces de Benjamin Yusupov avec Petr Rudzica et Juan José Mosalini. Elle éclaire également plusieurs expositions (Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, Musée du Luxembourg, Musée d’Art Moderne de Prato…) et travaille régulièrement à l’étranger (Ethiopie, Turquie, Arménie, Italie, Etats-Unis, Allemagne…). A l'opéra, elle éclaire Le mariage sous la mer de Maurice Ohana mis en scène par Antoine Campo, Didon et Enée de Purcell mis en scène par Jacques Osinski sous la direction musicale de Kenneth Weiss au Festival d'Aix-en-Provence, Le Carnaval et la Folie d'André-Cardinal Destouches mis en scène par Jacques Osinski sous la direction musicale d'Hervé Niquet, créé au Festival d'Ambronay puis repris à l'Opéra-Comique et Iolanta mis en scène par Jacques Osinski sous la direction musicale de
Tugan Sokhiev au Théâtre du Capitole de Toulouse, L’histoire du soldat et L’amour Sorcier, chorégraphies de Jean-Claude Gallota, direction musicale de Marc Minkowski (MC2 :Grenoble/Opéra Comique), Tancrède de Rossini sous la direction musicale d’Enrique Mazzola (Théâtre des Champs-Elysées), Iphigénie en Tauride (direction Geoffroy Jjourdain), projet de l’atelier lyrique de l’Opéra de Paris ainsi que Lohengrin de Salvatore Sciarino et Avenida de los incas de Fernando Fiszbein avec l’ensemble Le Balcon sous la direction musicale de Maxime Pascal (Théâtre de l’Athénée. Reprise à l’Opéra de Lille).